Courtier immobilier, un métier à défendre
Chaque jour, chaque semaine, chaque semestre, chaque année, nous travaillons de plus en plus fort pour protéger notre chiffre d’affaires. Être courtier de nos jours consiste souvent à convaincre et à défendre notre utilité ou notre valeur ajoutée. Plus que jamais, nous devons être appuyé sur le terrain ! Nous ne devons plus nous sentir seul à parler à nos clients !
La CIGM, notre association d’affaires, doit avoir comme principale obsession de parler au nom des courtiers afin de nous supporter sur la place publique. Ce besoin a été maintes fois exprimé par nous tous. Pour ce faire, les membres du conseil d’administration de la CIGM doivent faire preuve d’ouverture et d’écoute des besoins des courtiers, notamment celui de défendre nos parts de marché et notre image. Le temps n’est plus à la fermeture, à l’imposition, mais plutôt à l’écoute, à la collaboration et à une gestion interactive avec les courtiers.
Le mandat de l’OACIQ est de protéger le public, celui de la CIGM est de protéger les courtiers
Plus que jamais les consommateurs disent faire appel à nous à cause de nos compétences. Il faut en être fier.
Différents sondages réalisés depuis 2007 révèlent que la compétence est la principale raison de procéder à la vente et à l’achat avec un courtier. Entre 2007 et 2011, ce motif de faire affaire avec un courtier est en croissance.
En décembre 2011, un autre sondage révélait que 84 % des consommateurs ayant procédé avec un courtier ont exprimé leur satisfaction envers notre travail. Il faut en être fier et le dire tout haut
Pourtant, la concurrence non réglementée augmente. Dans certains secteurs, les AVPP regroupent plus du tiers des propriétés à vendre. Il faut que ça arrête maintenant.
Nous ne pouvons plus ne rien faire et regarder nos parts de marché continuer à fondre comme neige au soleil. Nous prônons une vision qui cherche à mettre à l’avant-plan notre valeur ajoutée et la sécurité que nous apportons à une transaction immobilière.